Anne BERNARD-GELY
Alain Chauvet
Le torchon
Bernard Lutun
Ma vie à l’X
A l’X, j’étais logé au deuxième étage dans le casert C704 avec Jean-Marc Daniel, l’un des trois caissiers de la promotion et Jean-Luc Tinland. Ce casert donnait sur les toits, à commencer par celui de l’amphi Poincaré, et il était donc le point de départ de certaines promenades. J’étais dans l’une des trois sections d’EPG, autrement dit des faibles en sport. En face, donnant sur la grande cour, se trouvaient les caserts de la section d’équitation. Elle me faisait envie : j’ai entraîné des élèves des promotions 1973 et 1974 dans ce sport, et les militaires, devant nos efforts, nous ont autorisés à monter à la Garde républicaine. Je n’ai pas profité longtemps de cet avantage, m’étant cassé le bras en tombant de cheval à Vincennes. J’ai tenté de me remettre en selle, mais le coeur n’y était plus. Aujourd’hui, je pourrais essayer l’attelage, qui devrait devenir un jour ou l’autre la quatrième discipline olympique d’un sport dont les pratiquants sont devenus en une génération à la fois très nombreux et à une très forte majorité des femmes (la Fédération française d’équitation est la troisième en nombre d’adhérents ; il y aurait environ 90 % de femmes).Ma vie après l’X
J’ai été ingénieur de l’armement de 1979 à 2013.Ma vie privée
Je me suis marié en 1998 et j’ai deux enfants. Unarticle plus long qui fait office de CV
Claude Allet
Alain Costes
Vie à l’X
Souvenir de cours souvent de très haut niveau, parfois vraiment difficiles. Heureusement qu’il y avait les petites classes et les voisins de casert (les deux majors d’entrée dans celui d’à côté, c’était bien) pour approfondir. Plaisir de l’ouverture de la section Tennis, qui a été l’occasion de pratiquer mon sport favori, et même de jouer en tournoi à Roland Garros (à l’époque c’était plus facile…) ! Recherche de mon orientation : entrée à l’X avec l’idée de construire des ponts, j’ai profité des visites organisées pour m’intéresser à l’aéronautique, pour finalement partir dans ce domaine ! Souvenir d’une relative liberté, ou tout au moins qui me paraissait suffisante. Je me suis tout de même appliqué à faire une fois le mur à un retour de Bal de l’X, pour le principe !Vie professionnelle
J’ai passé 33 ans au ministère de la défense, comme ingénieur de l’armement, où j’ai occupé de nombreux postes et eu à chaque fois des activités passionnantes : expert technique en propulsion par statoréacteur, directeur de programme, directeur technique d’un centre d’essais, directeur d’un établissement de 1000 personnes (avec notamment la gestion du passage aux 35h), relations internationales.
Charbel Nahas
Didier Hallépée
Vie familiale
Mon rêve : un mariage stable et heureux. Pour l’instant, je suis à la fois divorcé, veuf et séparé. Mais pas avec la
même. Mes enfants sont nés en 1985, 2008, 2010. Il m’a fallu près de 30 ans pour retrouver comment j’avais fait ! Encore un cours que je n’aurais pas dû sécher.
Promis, quand je baptiserai mon petit dernier le jour de mon centenaire, vous serez tous invités.