Bernard Lutun

Bernard Lutun

Ma vie à l’X

A l’X, j’étais logé au deuxième étage dans le casert C704 avec Jean-Marc Daniel, l’un des trois caissiers de la promotion et Jean-Luc Tinland. Ce casert donnait sur les toits, à commencer par celui de l’amphi Poincaré, et il était donc le point de départ de certaines promenades. J’étais dans l’une des trois sections d’EPG, autrement dit des faibles en sport. En face, donnant sur la grande cour, se trouvaient les caserts de la section d’équitation. Elle me faisait envie : j’ai entraîné des élèves des promotions 1973 et 1974 dans ce sport, et les militaires, devant nos efforts, nous ont autorisés à monter à la Garde républicaine. Je n’ai pas profité longtemps de cet avantage, m’étant cassé le bras en tombant de cheval à Vincennes. J’ai tenté de me remettre en selle, mais le coeur n’y était plus. Aujourd’hui, je pourrais essayer l’attelage, qui devrait devenir un jour ou l’autre la quatrième discipline olympique d’un sport dont les pratiquants sont devenus en une génération à la fois très nombreux et à une très forte majorité des femmes (la Fédération française d’équitation est la troisième en nombre d’adhérents ; il y aurait environ 90 % de femmes).

Ma vie après l’X

J’ai été ingénieur de l’armement de 1979 à 2013.

Ma vie privée

Je me suis marié en 1998 et j’ai deux enfants. Un

article plus long qui fait office de CV Suite