Cyrille van Effenterre

Mon passage à l’X ?

Basketteur, donc affecté à la compagnie des sports collectifs, j’étais dans un caser à quatre, avec Jean-Luc Bilhou-Nabera, Gilles Brouillet et Laurent Mahé. J’ai fait mon service dans les paras, ce qui m’a permis ensuite grâce à l’Ecole de découvrir les émotions des sauts en chute libre. J’ai également profité de mon passage à l’Ecole pour passer le brevet de pilote privé avion, pour faire du tennis et faire partie comme flûtiste de l’orchestre de l’Ecole, (déjà) dirigé par Patrice Holiner. Il m’est arrivé également de travailler un peu, ce qui m’a permis de rentrer dans le corps des eaux et forêts. Suite

Christophe Chauvin

Vie à l’X

Je suis arrivé à l’X un peu par hasard, parce que j’aimais la nature et que j’étais bon en maths : pour devenir ingénieur forestier l’X était une voie possible que je me suis laissé conseiller. J’étais donc de passage, mais j’ai gardé quelques durables amitiés notamment à travers la pratique de la montagne, découverte chez les chasseurs alpins. Suite

Gilles Brouillet

Vie à l’X

En casert avec Jean-Luc Bilhou-Nabéra puis Jean-François Mahé, Cyril Van Effenterre (au saxophone) et Philippe Brunswick (à la clarinette), section basket et tennis, en face des caserts du rugby (pour l’animation …). Suite

François Blanc

Vie a l’X

D’abord une vue à tomber sur Notre Dame, depuis mon casert au 8eme étage du Foch, que je cohabitais avec Hervé Soufflet et Alain Guillope : oui les jours d’orage avec un bon Pink Floyd (animals), Notre Dame avait toujours l’air d’un vaisseau fantôme, comme l’écrivait un antique de la 43 (Grosmangin).
Ensuite le groupe cyclo, avec aussi Pierre Bussières, Antoine Dubedout, Philippe Cassard, Guy Lavergne et Philippe Giraudin (73) et tant d’autres : courses folles a ‘Chevreuse’, rando en Auvergne (gentiment accueilli chez Anne Gely), le Var sous la pluie…
Enfin le souvenir d’un canular en guise de soutien à la Campagne (de caisse) de Claude Allet : simulation d’une alerte à la bombe, planqué sous le tableau du .K avec un panneau « Boom » pour le brandir sous les yeux étonnés de Laurent Schwartz ! Suite